Les relations qui cimentent les familles et les auxiliaires de vie se fondent sur une collaboration et un respect réciproque. Elles doivent être animées par la même volonté d’offrir le meilleur accompagnement possible au colocataire.
Sur cette volonté partagée, chacun à son niveau, quel que soit son statut et son lien vis-à-vis du colocataire, avec humilité et ouverture d’esprit, peut réellement apprendre « de » l’autre et apprendre « à » l’autre les attitudes, gestes, paroles,… les plus appropriés pour le mieux-être global du colocataire.
Les familles ont un « savoir-être » et un « savoir-faire » vis à vis de leur proche, à valoriser tout autant que le « savoir-être » et le « savoir-faire » de l’auxiliaire de vie.
Ainsi, la mutualisation des connaissances rend l’accompagnement véritablement « sage » car il est partagé !